« Il est grand temps de rallumer les étoiles. »
« J'ai cueilli ce brin de bruyère - L'automne est morte souviens-t'en - Nous ne nous verrons plus sur terre - Odeur du temps brin de bruyère - Et souviens-toi que je t'attends. - Il y a un poème à faire sur l'oiseau qui n'a qu'une aile. »
« Voici que vient l'été la saison violente - Et ma jeunesse est morte ainsi que le printemps - O soleil c'est le temps de la raison ardente. »
« Tu pleureras l'heure où tu pleures - Qui passera trop vitement - Comme passent toutes les heures. »
« Je souhaite dans ma maison, - Une femme ayant sa raison, - Un chat passant parmi les livres, - Des amis en toute saison - Sans lesquels je ne peux pas vivre. »
« Passons, passons, puisque tout passe, - Je me retournerai souvent. - Les souvenirs sont cors de chasse - Dont meurt le bruit parmi le vent. »
« Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin. »
« Les satyres et les pyraustes Les égypans les feux follets Et les destins damnés ou faustes... »
« Fondés en poésie nous avons des droits sur les paroles qui forment et défont l'Univers. »
« Et l'unique cordeau des trompettes marines. »
« Ma bouche aura des ardeurs de géhenne - Ma bouche te sera un enfer de douceur... »
« Mon Automne éternelle ô ma saison mentale - Les mains des amantes d'antan jonchent ton sol - Une épouse me suit c'est mon ombre fatale - Les colombes ce soir prennent leur dernier vol. »
« Les mauvaises herbes même sont de celles que l'on pourrait rendre bonnes en en usant congrûment. »
« Il y a longtemps que l'on discute le point de savoir de quel côté se trouve la raison, du côté de la minorité ou de celui de la majorité. »