« Au lieu de s'inquiéter de ce qui se passera demain, les hommes feraient mieux de s'interroger sur ce qu'ils font aujourd'hui. »
« L'autorité contraint à l'obéissance, mais la raison y persuade. »
« Comment l'indomptable recherche scientifique va-t-elle rester au service du mieux-être physique et mental de tous ? Deux maîtres mots : éducation et éthique, qu'il faut traduire en pratique. »
« Il faut écouter beaucoup et parler peu pour bien agir au gouvernement d'un Etat. »
« La souffrance ne se partage pas, encore moins l'oubli que, par ténacité, on trouve parfois dedans. »
« La mort n'a qu'un instant, et la vie en a mille. »
« Le grand amour, quand il n'y a plus de distance, quand on n'a même plus besoin de poser une question parce que la réponse est déjà en soi et en l'autre. »
« Le secret du voyage est dans l'attente et nulle part ailleurs. »
« Ce qu'il y a parfois de beau avec l'automne, c'est lorsque le matin se lève après une semaine de pluie, de vent et brouillard et que tout l'espace, brutalement, semble se gorger de soleil. »
« Un homme seul ne peut rien, il lui faut l'appui de ses semblables pour arriver là où il doit aller. »
« On peut juger un peuple d'après son café, ses cigarettes, sa bière... »
« Enseigner la gestion de son corps, réinventer ce que l'on appelait l'éducation sanitaire, et ce dès l'école. »
« Qui a la force a souvent la raison, en matière d'Etat. »
« Vivre, quelle souffrance, et quelle souffrance sans partage ! »