« Ne vous plaignez jamais du client à caractère difficile car il est la cause de vos progrès. Traitez les autres mieux encore : ils sont les raisons de vos bénéfices. »
« En affaires, mentir n'est jamais nécessaire, rarement utile et toujours dangereux. »
« Beaucoup de médiocres réussissent. La médiocrité rassure. »
« Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les vaniteux, les orgueilleux et les autres. Je n'ai jamais rencontré les autres. »
« Il n'est d'industrie durable que celle qui vend de la bonne qualité. »
« Il faut écouter les vieillards : il y a toujours dans ce qu'ils disent un peu de vérité. Mais il ne faut pas leur obéir, car ils ont perdu ce qui faisait leur force : la jeunesse. »
« La véritable épreuve de l'amitié, c'est le succès : car le malheur ne réclame que du secours et ne risque que la résistance de l'avarice ; tandis que le succès voudrait de l'affection et ne rencontre que l'envie. »
« J'ai souvent vu des techniciens avoir des avis contraires, je n'en ai jamais vu avoir tort. »
« Pour cacher les désordres, on ouvre des comptes spéciaux ; on les appelle des comptes d'ordre. »
« La sténodactylo est un instrument à qui l'on dicte des fautes de français et qui restitue des fautes d'orthographe. »
« Il y a des gens dont la puissance est faite de tout l'argent qu'ils ont prêté ; et d'autres dont toute la force est dans l'argent qu'ils doivent. »
« Une des erreurs que peut commettre un chef d'entreprise, c'est de se croire le seigneur de l'affaire qu'il dirige. »
« Ce n'est pas au bas du mur qu'on connaît le maçon ; c'est tout en haut. »
« Le Français est un paresseux qui travaille beaucoup. L'Anglais un paresseux qui ne fait rien. L'Allemand un travailleur qui se donne du mal. L'Américain, un travailleur qui sait s'arranger pour ne pas faire grand chose. »