Colette, nom de plume de Sidonie-Gabrielle Colette née à Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne) le 28 janvier 1873 et morte à Paris le 3 août 1954, est une romancière française. Elle est élue membre de l’Académie Goncourt en 1945.
« Il est sage de verser sur le rouage de l'amitié l'huile de la politesse délicate. »
« Il est bon de traiter l'amitié comme les vins et de se méfier des mélanges. »
« Une femme qui se croit intelligente réclame les mêmes droits que l'homme. Une femme intelligente y renonce. »
« Je suis entrée dans le monde du vin sans autre formation professionnelle qu'une gourmandise certaine des bonnes bouteilles. »
« Le visage humain fut toujours mon grand paysage. »
« La quiétude... C'est le bien de ceux qui ont à jamais choisi une part de leur destin, et rejeté l'autre. »
« Il n'y a de peine irrémédiable, sauf la mort. »
« Il faut avec les mots de tout le monde écrire comme personne. »
« La femme est capable de tous les exercices de l'homme sauf de faire pipi debout contre un mur. »
« On peut espérer que, lorsqu'ils seront les maîtres du monde, les insectes se souviendront avec reconnaissance que nous les avons plutôt bien nourris lors de nos pique-niques. »
« Quand une femme connaît la préférence d'un homme, cigares compris, quand un homme sait ce qui plaît à une femme, ils sont bien armés l'un contre l'autre. »
« On n'écrit pas un roman d'amour pendant qu'on fait l'amour. »
« Il y a souvent plus d'angoisse à attendre un plaisir qu'à subir une peine. »
« L'essentiel n'est pas la flûte, ni ce qu'elle joue, mais le visage derrière la flûte et qui en joue. »