Colette, nom de plume de Sidonie-Gabrielle Colette née à Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne) le 28 janvier 1873 et morte à Paris le 3 août 1954, est une romancière française. Elle est élue membre de l’Académie Goncourt en 1945.
« Quand vous vantez à une mère la beauté d'une de ses filles, elle pense que c'est la plus laide qui est la plus jolie. »
« Notre vie difficile et troublée a plus que jamais besoin d'images sereines. Plus que jamais nous aimons un certain romanesque scientifique, figuré sur les pages des belles entomologies, avec tous les attraits d'une féerique vérité. »
« Tendre vers l'achevé, c'est revenir à son point de départ. »
« C'est une langue bien difficile que le français. A peine écrit-on depuis quarante-cinq ans qu'on commence à s'en apercevoir. »
« Cette humeur protectrice, cette adresse à soigner, cette maternité délicate dans le geste - apanage des femmes. »
« Le voyage n'est nécessaire qu'aux imaginations courtes. »
« Le monde m'est nouveau à mon réveil, chaque matin. »
« On ne fait bien que ce qu'on aime. Ni la science ni la conscience ne modèlent un grand cuisinier. »
« Vivre sans bonheur et n'en point dépérir, voilà une occupation, presque une profession. »
« Connaître ce qui lui était caché, c'est la griserie, l'honneur et la perte de l'homme. »
« Si vous n'êtes pas capables d'un peu de sorcellerie, ce n'est pas la peine de vous mêler de cuisine... »
« Mon Dieu ! Que la vieillesse est donc un meuble inconfortable ! »
« Les femmes libres ne sont pas des femmes. »
« Qu'il s'agisse d'une bête ou d'un enfant, convaincre, c'est affaiblir. »