Daniel Pennacchioni, dit Daniel Pennac, né le 1er décembre 1944 à Casablanca au Maroc, est un écrivain français. Il a reçu le prix Renaudot en 2007 pour son essai Chagrin d'école.
« Un ivrogne, ça raconte n'importe quoi, surtout la vérité. »
« L'avenir, c'est la trahison des promesses,... Le dernier des députés et le meilleur des amis vous le confirmeront! »
« Les batailles se perdent dans la précipitation. »
« L'homme construit des maisons parce qu'il est vivant, mais il écrit des livres parce qu'il se sait mortel. Il habite en bande parce qu'il est grégaire, mais il lit parce qu'il se sait seul. »
« Dans la vie en général, il ne paraît jamais naturel ni mérité d'être aimé. C'est un honneur. »
« Le temps de lire est toujours du temps volé. C'est sans doute la raison pour laquelle le métro se trouve être la plus grande bibliothèque du monde. »
« Le chagrin creusé par ceux qui partent fait le nid de ceux qui arrivent dans le cœur de ceux qui espèrent. Il y a lurette que le manège aurait cessé de tourner, sinon. »
« Négocier c'est laisser à la guerre le temps de faire l'Histoire. »
« Mais d'où tiens-tu que les malheurs prévus sont plus supportables que les autres ? »
« Ce professeur-là n'inculquait pas un savoir, il offrait ce qu'il savait. »
« Le roman rend aussi le silence : ce qui se dit lorsqu'il ne se dit rien, et là-dedans chacun voyage. »
« Savoir ce qu'un boulot rapporte, mais savoir aussi ce qu'il vous coûte. »
« Le sommeil est une séparation. »
« Les habits neufs des mots... »