Daniel Pennacchioni, dit Daniel Pennac, né le 1er décembre 1944 à Casablanca au Maroc, est un écrivain français. Il a reçu le prix Renaudot en 2007 pour son essai Chagrin d'école.
« Quand on ne peut pas changer le monde, il faut changer le décors. »
« Plus la télé vise à la surprise, moins elle surprend. C'est dans sa nature d'estomac; les estomacs n'étonnent jamais, ils digèrent. Parfois, ils refoulent, c'est toute la surprise qu'on peut en attendre. »
« Il y a des circonstances de la vie où l'homme ressemble effectivement à un ordinateur: tout lisse à l'extérieur, mais clignotant des neurones avec frénésie. »
« ... Il y a des silences qui sont de dangereux explosifs! »
« Regarde-toi un peu. Tu n'as pas honte, d'être si jeune? A ton âge! »
« Ce que Dieu ne peut plus faire, une femme, parfois le peut. »
« Je suis né par curiosité. Y a-t-il une meilleure raison de naître? »
« Trente années de délire pédagogicide... »
« L'homme qui lit à voix haute nous élève à hauteur du livre. Il donne vraiment à lire! »
« Les guerres sont comme les feux de broussailles, si on n'y prend garde, elles se mondialisent. »
« Ah! le temps perdu, ça c'est bien une idée d'adulte! »
« A chacun sa vie: c'est le secret de l'amitié. »
« Il n'y a pas de faibles, il n'y a que des gens qui ne veulent pas ce qu'ils veulent. »
« (Une voix) remplie d'une dangereuse certitude. »