Frédéric Beigbeder, né le 21 septembre 1965 à Neuilly-sur-Seine, est écrivain, critique littéraire, réalisateur et animateur de télévision français. Il est le créateur du prix de Flore, dont il préside le jury, du prix Sade et de la revue Bordel.
« On déteste les contes de fées des autres. »
« Chaque détail prend de la valeur quand plus rien n'a de sens. »
« La grâce est un présent car, dans ces moments-là, on n'a ni passé ni avenir. On devient un paysage. »
« La publicité est l'une des plus grandes catastrophes des deux mille dernières années pour ceux qui aiment la littérature. »
« La liberté est un fardeau qui s'apprivoise, comme la mort. »
« Quand on a raté sa vie, il faut au moins essayer de réussir sa mort. »
« Là où il y a collagène, y'a pas de plaisir. »
« Pour réduire l'humanité en esclavage, la publicité a choisi le profil bas, la souplesse, la persuasion. »
« Sans apprentissage de la douleur, le bonheur n'est pas solide. »
« L'avantage avec la nouveauté, c'est qu'elle ne reste jamais neuve. Il y a toujours une nouvelle nouveauté pour faire vieillir la précédente. »
« Ce n'est pas la nature, c'est l'espérance qui a horreur du vide. »
« Nul n'est méchant volontairement, mais il y en a quand même qui le cherchent un peu. »
« La vie c'est moins bien que la télé, parce qu'on ne peut pas changer de chaîne. »
« L'embêtant avec la résurrection, c'est qu'il faut mourir avant. »