Georges Bernanos est un écrivain français, né le 20 février 1888 dans le 9e arrondissement de Paris et mort le 5 juillet 1948 à Neuilly-sur-Seine à l'âge de 60 ans.
« La réforme des institutions vient trop tard, lorsque le cœur des peuples est brisé. »
« Béni soit celui qui a préservé du désespoir un cœur d'enfant! »
« J'ai glissé cette lettre dans mon imitation, un vieux livre qui appartenait à maman, et qui sent encore la lavande, la lavande qu'elle mettait en sachet dans son linge, à l'ancienne mode. »
« La science ne saurait être rendue responsable de l'illusion des imbéciles qui prétendent, on ne sait pourquoi, qu'elle doit assurer leur bonheur. »
« Lorsqu'un homme crie : "Vive la Liberté !" il pense évidemment à la sienne. »
« L'optimisme est un ersatz de l'espérance, qu'on peut rencontrer facilement partout, et même au fond de la bouteille. »
« La force et la faiblesse des dictateurs est d'avoir fait un pacte avec le désespoir des peuples. »
« La colère des imbéciles remplit le monde. »
« Ce sont les démocrates qui font les démocraties, c'est le citoyen qui fait la république. »
« L'optimisme m'est toujours apparu comme l'alibi sournois des égoïstes, soucieux de dissimuler leur chronique satisfaction d'eux-mêmes. Ils sont optimistes pour se dispenser d'avoir pitié des hommes, de leur malheur. »
« Un seul mensonge fait plus de bruit que cent vérités. »
« On échappe pas au ridicule par une affectation de gravité. »
« Se connaître est la démangeaison des imbéciles. »
« Qu'une guerre soit réellement juste, nul, je pense, ne saurait l'affirmer avant la paix. Ce sont les paix justes qui font les guerres justes. »