Gustave Flaubert est un écrivain français né à Rouen le 12 décembre 1821 et mort à Croisset, lieu-dit de la commune de Canteleu, le 8 mai 1880.
« Il faut, si l'on veut vivre, renoncer à avoir une idée nette de quoi que ce soit. L'humanité est ainsi, il ne s'agit pas de la changer, mais de la connaître. »
« Il faut écrire des choses très folles en ayant une vie très rangée. »
« Rien ne m'a plus donné un absolu mépris du succès que de considérer à quel prix on l'obtient. »
« L'amour, après tout, n'est qu'une curiosité supérieure, un appétit de l'inconnu qui vous pousse dans l'orage, poitrine ouverte et tête en avant. »
« Le seul moyen de guérir, c'est de se considérer comme guéri. »
« On n'arrive au style qu'avec un labeur atroce, avec une opiniâtreté fanatique et dévouée. Le mot de Buffon est un grand blasphème: le génie n'est pas une longue patience, mais il a du vrai et plus qu'on ne le croit de nos jours surtout. »
« Des alternatives de colère et d'espoir, d'exaltation et d'abattement. »
« Il est si doux, parmi les désenchantements de la vie, de pouvoir se reporter en idée sur de nobles caractères, des affections pures et des tableaux de bonheur. »
« Les chiens de garde à la niche aboyaient en tirant sur leur chaîne. »
« La façade de briques était juste à l'alignement de la rue, ou de la route plutôt. »
« L'acquisivité englobe le tact des filous et l'ardeur des commerçants. »
« La censure, quelle qu'elle soit, me paraît une monstruosité, une chose pire que l'homicide; l'attentat contre la pensée est un crime de lèse-âme. La mort de Socrate pèse encore sur le genre humain. »
« Quelle admirable invention du diable que les rapports sociaux ! »
« Macadam - A supprimé les révolutions : plus moyen de faire des barricades. Est néanmoins bien incommode. »