Gustave Flaubert est un écrivain français né à Rouen le 12 décembre 1821 et mort à Croisset, lieu-dit de la commune de Canteleu, le 8 mai 1880.
« Latin : est seulement utile pour lire les inscriptions des fontaines publiques. »
« Et qu'est-ce que c'est qu'une révolution? un souffle d'air qui ride l'océan, s'en va et laisse la mer agitée. »
« Nerveux : se dit à chaque fois qu'on ne comprend rien à une maladie. »
« Il y a de par le monde une conjuration générale et permanente contre deux choses, à savoir, la poésie et la liberté ; les gens de goût se chargent d'exterminer l'une, comme les gens d'ordre de poursuivre l'autre. »
« Censure: Utile! on a beau dire. »
« Exercice : Préserve de toutes les maladies : toujours conseiller d'en faire. »
« C'est la faute de la fatalité! »
« Il ne faut rien regretter, car n'est-ce pas reconnaître qu'il y a au monde quelque chose de bon ? »
« Lisez pour vivre. »
« On ne choisit pas son sujet. Voilà ce que le public et les critiques ne comprennent pas. Le secret des chefs-d'oeuvre est là, dans la concordance du sujet et du tempérament de l'auteur. »
« L'amour, croyait-elle, devait arriver tout à coup, avec de grands éclats et des fulgurations, ouragan des cieux qui tombe sur la vie, la bouleverse, arrache les volontés comme des feuilles et emporte à l'abîme le cœur entier. »
« Fonds secrets. - Sommes incalculables avec lesquelles les ministres achètent les consciences. »
« Si le visage est le miroir de l'âme, alors il y a des gens qui ont l'âme bien laide. »
« La Critique est la dixième Muse et la Beauté la quatrième Grâce. »