Harry Bernard (né Bernard Harry), est un journaliste, romancier et naturaliste québécois né le 9 mai 1898 à Londres en Angleterre et décédé le 16 mai 1979 à Montréal, Québec.
« Le passé appartient au passé. Il ne doit pas jeter son ombre douloureuse sur le présent. »
« L'amour n'est pas une simple possession. S'aimer, c'est surtout se soutenir l'un l'autre dans l'épreuve, s'endurer dans les imperfections communes, se sacrifier ; c'est savoir grandir ensemble. »
« La patience vient à bout de tout. Elle use les cœurs, et les volontés, plus sûrement que l'eau la pierre. »
« L'automne a beau se parer, comme une vieille coquette, s'orner de feuillages pourpres ou mordorés, il n'est que leurre et trompe-l'oeil. »
« La souffrance nous rapproche de Dieu en nous éloignant du mal et, par suite, nous fait évaluer plus justement les choses de ce monde. »
« Il en est des paysages comme des hommes : il faut un peu les vivre pour pénétrer leurs secrets. »
« La jeunesse passe vite. C'est alors que compte la préparation à la vie. »
« La vie ce n'est pas la distraction et le mouvement du monde. Vivre, c'est sentir son âme, toute son âme. C'est aimer, aimer de toutes ses forces, toujours, jusqu'à la fin, et jusqu'au sacrifice. »
« Quels sacrifices attendre, quels renoncements espérer dans la poursuite d'un bien commun, quand l'égoïsme est roi ? »
« La jeunesse est belle. Dérision ! Elle est belle, confiante, aventureuse. Elle est riche de tous les espoirs, de toutes les ambitions. Elle est surtout naïve. »
« Le temps guérit tout, règle nos problèmes, ceux-là surtout qui paraissent insolubles. »
« Rien ne ressemble plus à un mensonge que la vérité. »
« La solitude n'existe pas, celle-là surtout dont on espère la paix. Où que vous alliez, votre pensée et vos actes vous suivent. »
« Quand on se trouve en face d'une difficulté, on en tire le meilleur parti possible. »