« Les impressions, c'est le cancer de l'objectivité. »
« Parfois, il vaut mieux ne pas chercher à comprendre, c'est plus simple car la vérité est plus cruelle que le venin du serpent. »
« Lire, c'est déchiffrer l'ambiguïté. »
« Le paradoxe de la haine c'est d'être comme l'amour : une limite extrême des sentiments humains à partir de laquelle il n'y a plus de mots pour en décrire la force. »
« Etre en accord et en paix avec sa propre conscience est la condition majeure et primordiale qu'un homme de bien puisse requérir. »
« On ne gouverne bien et on ne commande bien qu'à des gens qu'on insulte librement ; qu'à des gens à qui l'on ne doit rien et vis-à-vis desquels on n'a pas à se sentir obligé. »
« La politique et la guerre sont de bien mauvaises épouses et elles sont toujours infidèles... Elles trompent ceux qui ont un cœur pur et il n'y a que les crapules qui peuvent les défier car eux aussi sont infidèles. »
« Je ne crois pas que les fous existent. Il y a seulement des incompris. »
« Lire, c'est également découvrir que rien n'est jamais acquis à l'homme. »
« A part le doute, c'est le doute de croire qui fait le plus souffrir. »
« La police n'a guère de pouvoir. C'est le pouvoir qui a la police. »
« Le printemps, c'est l'été en pièces détachées ! »
« Le temps ce n'est ni de l'eau, ni de l'air. Ça fuit quand même. Ça coule. »
« On n'épouse pas toujours les femmes qu'on prendrait pour maîtresses. C'est même un peu la raison pour laquelle le mariage et la galipette sont deux choses bien différentes. »