Jean le Rond D’Alembert, ou Jean Le Rond d’Alembert,, né le 16 novembre 1717 à Paris où il est mort le 29 octobre 1783, est un mathématicien, philosophe et encyclopédiste français.
« Rien n'est si dangereux pour le vrai et ne l'expose tant à être méconnu, que l'alliage ou le voisinage de l'erreur. »
« Si le propre du génie est de créer en grand, celui de l'esprit dans les petits ouvrages est d'imaginer, celui du talent est de mettre en oeuvre, et celui du goût de mettre en place. »
« Bientôt, malgré les cris de l'imbécile superstition, on réimprima les noëls. »
« A tout prendre, je crois que l'ouvrage gagne à la lecture. »
« Il est mort au mois de janvier dernier dans un village nommé Vitry, tout près de Paris, une femme qui y vivait assez obscurément, et même assez pauvrement, et qu'on assure avoir été la veuve du czarowitz Alexis, que son père le czar Pierre Ier fit mourir. »
« Cet écrivain pauvre a fait, sur le théâtre, la petite fortune de quelques pauvres écrivains. »
« Dans ce moment si remarquable, où vous jouez, sire, aux yeux de toute l'Europe, le rôle vraiment digne de vous, de défenseur de l'Allemagne et de protecteur du corps germanique. »
« Cicéron avait fait un ouvrage sur ce sujet (la gloire); quoique son livre soit perdu, il existait encore du temps de Pétrarque, qui en possédait un exemplaire... »
« Pour éviter toute équivoque, et ôter aux journalistes allemands tout prétexte de dire là-dessus, à leur ordinaire, quelques lourdes sottises. »
« Je sais qu'on fait sonner très haut deux grands avantages en faveur de l'éducation des colléges, la société et l'émulation. »
« Les notions les plus abstraites, celles que le commun des hommes regarde comme les plus inaccessibles, sont souvent celles qui portent avec elles une plus grande lumière. »
« La mécanique des corps solides n'étant appuyée que sur des principes métaphysiques et indépendants de l'expérience. »
« Si, dans l'état de faiblesse où je suis, je trouvais quelque moment lucide, j'en profiterais à l'instant pour satisfaire mon cœur. »
« Les jansénistes, que la destruction des jésuites avait déjà rendus insolents, et qu'elle rendrait dangereux, si la raison ne se pressait de les remettre à leur place. »