Joë Bousquet, né à Narbonne (Aude) le 19 mars 1897 et mort à Carcassonne (Aude) le 28 septembre 1950, était un poète français.
« En moi se pense la partie, donc je suis le Tout. »
« La vie est dans nos paroles comme les batailles de la Grande Armée dans une conversation d'invalides. »
« Celui qui a vu son semblable au plus bas de la déchéance n'a plus les mêmes yeux : il a détruit sans le savoir le mur qui séparait l'homme de son image. »
« Les hommes ne seraient que des ombres s'ils ne donnaient pas la vie. »
« Il ne faut pas leur répondre. Ce qu'ils disent est si bête que même à les contredire on déraisonne. »
« L'opinion publique est reine : elle ne gouverne pas. »
« Si tu ne trouves pas Dieu en toi, laisse-le où il se trouve. »
« ... Elle n'acceptait pour amants que les discrets parce qu'ils se taisent et les indiscrets parce qu'on ne les croit pas. »
« L'homme est le lieu des faits qu'il contrôle et de ceux qu'il ne contrôle pas. »
« J'ai voulu être capable de me faire aimer de ma vie. »
« Si tu ne trouve pas Dieu en toi, laisse-le où il se trouve... »