Paulo Coelho, né le 24 août 1947 à Rio de Janeiro, est un romancier et un interprète brésilien. Il a acquis une renommée internationale avec la publication de L'Alchimiste, vendu à 65 millions d'exemplaires, en 56 langues (chiffres de 2008).
« L'amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l'emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. »
« Seule l'explosion intérieure permet de briller. »
« Tout ce qui est fait dans le présent affecte l'avenir en conséquence, et le passé par rédemption. »
« Sur le Chemin, comme dans la vie, la sagesse n'a de valeur que si elle peut aider l'homme à vaincre un obstacle. »
« Travailler est une bénédiction quand cela nous aide à penser à ce que nous sommes en train de faire. Mais cela devient une malédiction quand cela n'a d'autre utilité que de nous éviter de penser au sens de notre vie. »
« Des démons surviennent et repartent à tout moment, sans que les choses soient nécessairement perturbées par leur présence. »
« La folie, c'est l'incapacité de communiquer ses idées. »
« Quelquefois, il vaut mieux vivre avec les brebis, qui sont muettes, et se contentent de chercher de la nourriture et de l'eau. Ou alors, avec les livres, qui racontent des histoires incroyables quand on a envie d'en entendre. »
« Le bonheur est parfois une bénédiction - mais, le plus souvent, c'est une conquête. »
« Personne ne peut fuir son cœur. C'est pourquoi il vaut mieux écouter ce qu'il dit. »
« L'homme a rarement le pouvoir de prendre une décision. »
« Le monde trouvera sa vérité quand l'homme saura aimer - jusque-là, nous vivons en pensant que nous connaissons l'amour, mais sans avoir le courage de l'affronter tel qu'il est. »
« L'être humain ne s'offre le luxe d'être fou que lorsque les conditions sont favorables. »
« Un marteau n'a pas de raison d'être s'il n'existait des clous pour qu'il les martèle. »