Pierre Corneille, aussi appelé « le Grand Corneille » ou « Corneille l'aîné », né le 6 juin 1606 à Rouen et mort le 1er octobre 1684 à Paris (paroisse Saint-Roch), est un dramaturge et poète français du XVIIe siècle.
« L'absence ne fait mal que de ceux que l'on aime. »
« Et la mort ou l'exil ou les abaissements - Seront pour vous et moi ses vrais remercîments. »
« Le cuisant souvenir d'une action méchante - Soudain au moindre mot nous donne l'épouvante. »
« La vie est un torrent d'éternelles disgrâces. »
« Marquise, si mon visage - A quelques traits un peu vieux, - Souvenez-vous qu'à mon âge - Vous ne vaudrez guère mieux. »
« Et du premier revers la fortune l'abat. »
« Et le moindre moment d'un bonheur souhaité - Vaut mieux qu'une si froide et vaine éternité. »
« L'amour rend tout permis ;Un véritable amant ne connaît point d'amis. »
« Bien qu'une beauté mérite qu'on l'adore,Pour en perdre le goût, on n'a qu'à l'épouser. »
« L'épargne de mon père entièrement ouverte, - Lui met à l'abandon tous les trésors du roi. »
« Quoiqu'à peine à mes maux je puisse résister, - J'aime mieux les souffrir que de les mériter. »
« La peinture et la poésie ont cela de commun entre beaucoup d'autres choses, que l'une fait souvent de beaux portraits d'une femme laide, et l'autre de belles imitations d'une action qu'il ne faut pas imiter. »
« J'attire en me vengeant sa haine et sa colère; - J'attire ses mépris en ne me vengeant pas. »
« J'appelle rêveries - Ce qu'en d'autres qu'un maître on nomme menteries. »