Robert Choquette, poète, écrivain, prolifique rédacteur de feuilletons radiophoniques et diplomate québécois, est né le 22 avril 1905 à Manchester (New Hampshire) et décédé le 22 janvier 1991 à Montréal (Canada) à l'âge de 85 ans.
« La nuit, on imagine ce qu'on désire et tout paraît possible. Au grand jour, l'imagination pâlit. La nuit, on voit des choses inexistantes et on y croit. »
« La vie est courte et il faut être réaliste. Lutter contre l'inévitable, c'est du temps perdu ; accepter un fait accompli est une preuve de sagesse, d'intelligence. »
« Le bonheur ne se donne pas. Il faut l'attacher à la vie, le conquérir à puissants coups d'épaule, à puissants coups de courage et de ténacité. »
« Les larmes, c'est comme une rosée qui empêche le cœur de faner, une rosée qui l'aide à refleurir comme avant. »
« Si la liberté grise, la famille rassure. »
« Le bonheur parfait s'use vite. »
« Au cœur de l'incertitude il y a toujours l'espoir, si fragile soit-il. »
« L'art, c'est le moyen de corriger la vie. »
« C'est en se heurtant à du silence qu'on épuise le plus sûrement ses dons d'éloquence et de persuasion. »
« On manque le but aussi bien en dépassant la marque qu'en ne l'atteignant pas. »
« La menace est souvent plus redoutable que l'action. »
« Par rapport à soi-même, chacun est dans le vrai, chacun est au centre de la vérité. »