« Brouillards, montez! versez vos cendres monotones - Avec de longs haillons de brume dans les cieux - Que noiera le marais livide des automnes - Et bâtissez un grand plafond silencieux! »
« Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres. »
« Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, - Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, - Ses petits affamés courent sur le rivage - En le voyant au loin s'abattre sur les eaux. »
« La foudre et l'amour laissent les vêtements intacts et le cœur en cendres. »
« Londres est une ville de brouillards et de charbon de terre : au bout de huit jours, une chemise n'y est plus mettable. »
« Fils de Saint-Louis, montez au Ciel! »
« Vaincu, on sera réduit en cendres ; vainqueur, en charbon de bois. »
« Le casque des pavés ne bouge plus d'un cil - La Seine de nouveau ruisselle d'eau bénite - Le vent a dispersé les cendres de Bendit - Et chacun est rentré chez son automobile. »
« La peine est une trop simple raison pour répandre des cendres. »
« Le comble du Corse? - Mettre les cendres du défunt dans un sablier pour le voir enfin travailler. »
« Le temps et mon humeur ont peu de liaison ; j'ai mes brouillards et mon beau temps au-dedans de moi. »
« Si haut qu'on monte, on finit toujours par des cendres. »
« L'histoire ne nous fournit que des exemples de paix violées, de guerres injustes et cruelles, de champs dévastés, de villes réduites en cendres. »
« Quelle chose merveilleuse serait la société des hommes, si chacun mettait du bois au feu, au lieu de pleurnicher sur des cendres! »