« Il est un air, pour qui je donnerais, - Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber. - Un air très vieux, languissant et funèbre, - Qui pour moi seul a des charmes secrets! »
« Cette teinte de pathétique se faisait sentir encore davantage quand Fléchier prononçait ses oraisons funèbres; son action un peu triste, et sa voix un peu faible et traînante, mettaient l'auditeur dans la disposition convenable pour s'affliger avec lui. »
« L'animal, c'est de l'ombre errant dans les ténèbres ;On ne sait s'il écoute, on ne sait s'il entend ;Il a des cris hagards, il a des yeux funèbres ;Une affirmation sublime en sort pourtant. »