« Le printemps est la saison où les garçons commencent à comprendre ce que les filles ont su tout l'hiver. »
« Idées de suicide : c'est gentil comme tout ces petites bêtes-là, et si faciles à nourrir. Elles mangent tout : des chagrins, des dents arrachées, des blessures d'amour-propre ou non, des déficiences sexuelles, des larmes pas pleurées... »
« On a aussi peu de liberté maintenant qu'il y a vingt ans : faire l'amour était alors interdit aux jeunes filles ; maintenant c'est presque devenu obligatoire. Les tabous sont les mêmes. »
« Comme les homards, les jeunes filles ont l'extérieur exquis. Comme les homards, elles rougissent quand on veut les rendre comestibles. »
« Les affaires de l'Etat sont faciles à trancher, les affaires de famille sont difficiles à tirer au clair. »
« La maison familiale est une prison pour les jeunes filles et une maison de correction pour les femmes. »
« Il y a deux catégories de télévision : la télévision intelligente qui fait des citoyens difficiles à gouverner et la télévision imbécile qui fait des citoyens faciles à gouverner. »
« Il n'y a pas de filles bien qui ont mal tourné, simplement des méchantes qui se sont trouvées. »
« Les filles sont les roses de la couronne de la vie. Les roses et les filles font resplendir le printemps. »
« Une fille, brave fille, deux filles, assez de filles, trois filles, avec la mère, quel tourment pour un père. »
« Il n'y a pas de justice :Le premier intellectuel venu exhibe l'intérieur de sa tête... On le fête.La plus jolie des filles nues montre très simplement son cul... On la hue. »
« Les hommes publics sont comme les filles publiques, incapables de prendre leur retraite à temps. »
« Aujourd'hui, à quinze ans les petites filles sont des femmes. Tout le monde le sait, sauf les mères ! »
« Filles, voyez l'épi de blé. Quand il est beau, il baisse la tête. »