« Quand vous allez pour vous noyer, ôtez d'abord vos vêtements : ils pourront servir au second mari de votre femme. »
« L'anglais. Langue des affaires. Du grand commerce. De la richesse. Des notables. Le français, c'est bon pour le négoce, les petits trafics, les combines politiques. »
« L'oisiveté est la mère de tous les vices. »
« Dieu donne le lait, mais non le seau. »
« L'enfant pèse d'abord sur les bras des parents et plus tard sur leur cœur. »
« Les amis sont comme les cordes de violon : il ne faut pas trop les tendre. »
« Pour deviner la nationalité d'un homme, il suffit de le présenter à une jolie femme. S'il lui serre la main, c'est un Anglais ; s'il la lui baise, un Français ; s'il lui demande rendez-vous, un Américain ; s'il câble à Moscou pour instructions, un Russe. »
« On peut conduire un cheval à l'abreuvoir, mais non le forcer à boire. »
« Mieux vaut tenir le diable dehors que de le mettre à la porte. »
« Les Français sont faits pour composer de la musique d'opéra, les Italiens pour la chanter, les Allemands pour la jouer, les Anglais pour l'entendre et les Américains pour la payer. »
« J'ai commencé à comprendre les Anglais le jour où j'ai enfin réalisé qu'ils disent exactement le contraire de ce qu'ils pensent. »
« L'Anglais pense assis, le Français debout, l'Américain en marchant, l'Irlandais à retardement. »
« Le bavardage ne paie pas d'impôt. »
« Tout âne se croit l'égal des chevaux du roi. »