« Les femmes sont les êtres qui nous complètent, qui complètent nos pulsions de désir, d'amour et de tendresse. »
« Il faut avoir vécu dans cet isoloir qu'on appelle Assemblée nationale, pour concevoir comment les hommes qui ignorent le plus complètement l'état d'un pays sont presque toujours ceux qui le représentent. »
« L'enfance est courte, la maturité infinie. »
« Lorsqu'on a pénétré le fond des choses, la perte des illusions amène la mort de l'âme, c'est-à-dire un désintéressement complet sur tout ce qui touche et occupe les autres hommes. »
« Une femme qui reste une femme, c'est un être complet. »
« Je suis maintenant plus au clair avec ce que je suis, et je sais quand m'effacer [...] mais je ne pense pas que je me connaîtrai un jour complètement. Je connais mes racines et je connais mon but, mais mon caractère lui, continue d'évoluer. »
« Le cœur des hommes est une bibliothèque où s'alignent les romans tragiques, les idylles, les livres gais et aussi quelques livres légers : une bibliothèque rangée sans ordre apparent, mais complète. »
« Une pièce de théâtre devrait être écrite, décorée, costumée, accompagnée de musique, jouée, dansée par un seul homme. Cet athlète complet n'existe pas. Il importe donc de remplacer l'individu par ce qui ressemble le plus à un individu: un groupe amical. »
« Tout écrivain complet aboutit à un humoriste ! »
« Un de ces bonheurs complets, n'appartenant sans doute qu'aux occupations médiocres, qui amusent l'intelligence par des difficultés faciles. »
« Le temps, dans sa lutte contre l'homme, joue avec lui, et quand il s'ennuie, il le tue. »
« J'ai renoncé aux devoirs. Ils sont mauvais pour l'amour-propre. Au lieu d'essayer d'apprendre, je préfère m'aimer tel que je suis. »
« L'être humain est ainsi fait qu'il se veut surtout autonome. La personne cherche l'autre qui la complétera, mais si l'autre lui apparaît comme une menace à son autonomie, elle se détournera. C'est pourquoi les forts sont condamnés aux faibles. »
« L'amitié comme l'amour n'est jamais complètement désintéressée! »