« Le soir j'étais triste car j'avais mangé des anchois. Le matin le médecin me réconforta ; pourquoi être triste ? Après tout, j'ai mangé les anchois, les anchois ne m'ont pas mangé. »
« La Nature, dans son inépuisable fécondité, est le plus précieux allié des médecins et se charge, sans en rien dire, de réparer leurs fréquentes erreurs. »
« L'excès est la nourrice des médecins. »
« Un mari est un emplâtre qui guérit tous les maux des filles. »
« Le meilleur médecin c'est celui qui nous guérit, pas celui qui nous empêche d'être malade. »
« Je n'ai jamais permis les critiques. On demande à un médecin qu'il guérisse la fièvre et non qu'il fasse une satire contre elle. »
« Notre grande erreur est de croire que le médecin, l'avocat et le prêtre ne sont pas des hommes comme les autres. »
« Rien ne dégoûte de la vie comme de feuilleter un dictionnaire de médecine. »
« Les médecins sont sujets à être matérialistes, et les astronomes à être athées. C'est que les premiers ont continuellement sous les yeux le cerveau de l'homme, tandis que les autres n'aperçoivent nulle part le cerveau du monde. »
« En médecine, le cabriolet est plus nécessaire que le savoir. »
« La médecine n'est pas une affaire de science : c'est une affaire de veine. »
« Le médecin ne lui donne pas plus d'une semaine.... L'ennui c'est que les semaines des médecins ne dépassent jamais trois jours. »
« Ce qu'on cherche à comprendre, souvent, on le tue, car, comme chez l'apprenti médecin, il n'y a pas de véritable connaissance sans dissection. »
« Le médicament reste le principal symbole de la puissance du médecin. »