« Il vaut mieux vivre dans la plate solitude que de toucher un peu à la joie, l'étreindre pendant quelques jours, et finalement la perdre sans raison apparente. »
« Un être humain, comme n'importe quel animal ou végétal, reçoit de ses parents un certain héritage substantiel, un certain patrimoine héréditaire. »
« Il n'y a que les enfants qui meurent en croyant vivre. »
« Mieux vaut se quereller avec ses beaux-parents qu'avec ses voisins. »
« Le regard ne s'empare pas des images, ce sont elles qui s'emparent du regard. Elles inondent la conscience. »
« Perdre l'un de ses parents peut être regardé comme un malheur. Perdre les deux ressemble à de la négligence. »
« Le cœur des hommes est une bibliothèque où s'alignent les romans tragiques, les idylles, les livres gais et aussi quelques livres légers : une bibliothèque rangée sans ordre apparent, mais complète. »
« Après m'avoir appris à parler, mes parents m'ont appris à me taire. (Proverbe Sioux) »
« On court les risques du dégoût en voyant comment l'administration, la justice et la cuisine se préparent. »
« La vie est un combat et il faut s'y entraîner dès l'enfance. Les camarades sont meilleurs éducateurs que les parents, parce que sans pitié. »
« Le livre est un maître qui ne se lasse point ; il est à la disposition du lecteur, pour se répéter, puisque celui-ci n'a qu'à relire la phrase mal comprise. »
« La querelle entre parents fume et ne flambe pas. »
« La parenté est comme un manteau d'épines. »
« Mieux vaut avoir de nombreux enfants. Ils se répartissent la sottise de leurs parents. Le fils unique la garde toute pour lui. »