« C'est l'histoire d'une société qui va vers sa chute... Tout au long de sa chute elle se répète : "Jusque-là tout va bien."Mais le plus important c'est pas la chute, c'est l'atterrissage. »
« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »
« ... Ce regard avec lequel, un jour de départ, on voudrait emporter un paysage qu'on va quitter pour toujours. »
« La vieillesse apporte une lucidité dont la jeunesse est bien incapable et une sérénité bien préférable à la passion. »
« L'argent ouvre de nombreuses portes. - Celle du cercueil, entre autres. »
« L'emprise de l'homme sur la nature est devenue telle qu'elle comporte le risque de destruction de la nature elle-même. »
« Le journaliste, lui peut écrire n'importe quoi et se tromper sur tout, cela ne change rien, ses journaux se vendent toujours aussi bien ou aussi mal. »
« Une société ne peut distancer ses concurrents que si elle peut établir une différence qu'elle peut préserver. »
« Accueillir quelqu'un, c'est lui ouvrir la porte de son cœur, lui donner de l'espace. »
« On ne reçoit de l'école que ce qu'on y a apporté. »
« Qu'y a-t-il dans un nom ? Ce que nous appelons rose,Par n'importe quel autre nom sentirait aussi bon. »
« Le fardeau supporté en groupe est une plume. »
« L'avenir, large porte ouverte sur un horizon aussi vaste que la mer ! »
« L'art, c'est déjà de la publicité. La Joconde aurait pu servir de support à une marque de chocolat, à Coca-Cola ou à tout autre chose. »