« On ajoute encore, et on assure même que le grand prôneur de la pièce, le grand protecteur de l'auteur, est M. L'abbé de Mably, qui mène M. Clément sur le poing de porte en porte, et qui le présente à toutes ses connaissances. »
« Accepte-toi toi-même d'abord, accepte tout ce que ton être comporte, ses richesses et ses pauvretés ; accepte d'agir tel que tu es : accepte ton lot. »
« Le cirque est un petit bout d'arène close, propre à l'oubli. Un temps plus ou moins bref, il nous permet de ne plus penser à nous, de nous dissoudre dans l'émerveillement et la félicité, d'être transportés de mystère. »
« La nature ne pardonne pas, n'oublie rien... Des coups, elle peut en supporter mille et rendre soudain non pas oeil pour oeil mais apocalypse pour chiquenaude. »
« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses mais les jugements qu'ils portent sur les choses. »
« Le bienfait revient toujours à la porte de son auteur. »
« Le sort qui vous emporte, il faut le porter courageusement. »
« La télévision est par nature une fenêtre déformante ; en laissant voir les événements qui agitent le monde, elle ne fait que rapporter une vérité, celle qu'elle croît être la plus proche de la vérité. »
« Les chaînes du mariage sont si lourdes qu'il faut être deux pour les porter. Quelquefois trois. »
« N'importe qui peut sympathiser avec les souffrances d'un ami. Sympathiser avec les succès d'un ami exige une très délicate nature. »
« Le sage peut découvrir le monde sans franchir sa porte. Il voit sans regarder, accomplit sans agir. »
« Lorsque Dieu ferme une porte, il en ouvre toujours une autre. »
« Le premier travail d'un dirigeant n'est pas d'apporter la motivation mais de supprimer les obstacles. »
« Qu'emporteras-tu à la mort ?Uniquement ce que tu auras donné. »