« C'est ainsi, on ne tire pas sur son passé. Selon qu'on est le fils d'un garde-barrière ou d'une duchesse, quand on se penche sur l'histoire qu'on a vécue, on entend siffler des trains ou sonner des cors de chasse ! »
« On aime ressentir l'influence bienfaisante d'un enfant, se mettre à son école, et, l'âme apaisée, l'appeler son maître avec reconnaissance. »
« Un homme puissant flatte plus son interlocuteur par une confidence que par un compliment. »
« La valeur ou l'importance d'un homme, c'est comme pour tout autre objet, son prix, c'est-à-dire ce qu'on donnerait pour disposer de son pouvoir. »
« Mais que faire de cette force permanente en nous, de cette force qui aspire, et qui aspire toujours ? »
« Chaque être naît seul, à son jour, à son heure, et vient au monde les mains vides. »
« Les mille clairons du désir, les mille tam-tams du sang résonnèrent dans mes veines, et les mille violons du plaisir attaquèrent leur valse pour nous. »
« C'est une méchante manière de raisonner que de rejeter ce qu'on ne peut comprendre. »
« Je mets les choses au pire, parce que je trouve que c'est là la vraie façon de raisonner. »
« C'est toujours une seconde avant de décrocher que le téléphone s'arrête de sonner. »
« Quand l'homme se regarde beaucoup lui-même, il en arrive à ne plus savoir quel est son visage et quel est son masque. »
« Il faut savoir maîtriser sa langue, son cœur et son sexe. »
« Il faut mettre son génie dans sa vie et son talent dans ses oeuvres. »
« Vouloir plaire à son siècle est souvent une raison pour déplaire à la postérité. »