« Les vrais amis sont ceux qui mêlent leur confiance réciproque, leurs pensées et leurs rêves, leurs vertus comme leurs bonheurs et leurs souffrances, libres de se séparer toujours et ne se séparant jamais. »
« L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console. »
« Malgré les épreuves il faut continuer de sourire à la vie. Autrement, elle se fâche et coupe vite le courant à ceux qui ont cessé de croire en elle et de l'aimer dans la souffrance comme dans la joie. »
« N'importe qui peut sympathiser avec les souffrances d'un ami. Sympathiser avec ses succès exige une nature très délicate. »
« Il n'y a pire souffrance que de se savoir autant aimé d'une femme que l'on saurait aimer autant que celle qu'on aime plus que tout autre. »
« La souffrance enlaidit les êtres. Elle durcit les traits, fige le sourire, donne des rides et un teint gris. Le visage des gens qui souffrent fait mal voir. »
« La souffrance d'autrui, même lorsqu'on connaît la cause, est une porte verrouillée de l'intérieur contre laquelle on ne peut que frapper discrètement pour que l'autre sache qu'il n'est pas seul. »
« Etre poète, c'est cultiver le jardin de ses souffrances. »
« Plus que la faim, la soif, le chômage, la souffrance d'amour, le désespoir de la défaite, le pire de tout, c'est de sentir que personne, mais absolument personne en ce monde, ne s'intéresse à nous. »
« Je puis regretter d'avoir menti, d'être la cause de ruines et de souffrances, mais fussé-je sur le point de mourir, je ne pourrais me repentir d'avoir aimé. »
« Dignité - démarche -liberté - peur - souffrance - vision - intelligence - vie - détermination - sont féminins. »
« Les jaloux sont comme les fous et les ivrognes, ils ne se rendent jamais compte de leurs souffrances. La jalousie provient d'un manque de confiance non pas envers l'autre, mais envers soi-même. »
« Moi, je suis méchante: ça veut dire que j'ai besoin de la souffrance des autres pour exister. »
« Respecter l'autre, c'est le considérer en tant qu'être humain et reconnaître la souffrance qu'on lui inflige. »