« Si le travail c'est l'opium du peuple, alors je ne veux pas finir drogué... »
« Attaché avec superstition aux anciennes maximes, il s'élevait par une espèce d'ostracisme contre toute innovation littéraire, soit dans les principes, soit dans les ouvrages. »
« Son érudition était immense: histoire civile et littéraire, ancienne et moderne, connaissance des livres et des auteurs, critique, philologie, tout était de son ressort. »
« Dans la vie, j'ai eu le choix entre l'amour, la drogue et la mort. J'ai choisi les deux premières et c'est la troisième qui m'a choisi... »
« Nous trouvons de tout dans notre mémoire. Elle est une espèce de pharmacie, de laboratoire de chimie, où on met au hasard la main tantôt sur une drogue calmante, tantôt sur un poison dangereux. »
« La drogue a fait cent morts en France l'année dernière, l'alcool cinquante mille ! Choisis ton camp, camarade ! »
« La drogue c'est comme une femme. Elle ne te pardonnera pas si tu dépasses la mesure avec elle. »
« L'art culinaire est plus important que l'art littéraire. Et on peut très bien vivre sans savoir lire tandis qu'il faut manger. »
« La drogue est le nomadisme de l'exclu. »
« Les merveilleuses découvertes de la chimie sont surpassées peut-être par la confiserie. Jadis toute drogue avait un goût particulier ; aujourd'hui, c'est le contraire. »
« ... Une drogue est au bonheur ce que la masturbation est à l'amour: une fermeture sur soi-même, nécessaire à certaines périodes, qui devient appauvrissante si elle coupe le contact avec le monde extérieur. »
« Le sexe est une drogue. J'ai mes périodes de shoot et d'abstinence. »
« La politique dans une oeuvre littéraire, c'est un coup de pistolet au milieu d'un concert. »
« La drogue, c'est une catastrophe. Y'en a plus. »