« Combien de joies ne voyons-nous pas à nos pieds quand notre regard est perdu dans les nuages ? »
« Lorsqu'une porte se ferme, il y en a une qui s'ouvre. Malheureusement, nous perdons tellement de temps à contempler la porte fermée, que nous ne voyons pas celle qui vient de s'ouvrir. »
« En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux. »
« Rien n'exprime mieux la joie que le silence. Si j'ai pu dire combien grand était mon bonheur, c'est qu'il était petit. »
« L'amitié est bien plus exigeante que l'amour et l'idée que nos amis se font de nous, nous prive de combien de faiblesses délicieuses. »
« Combien de fois abandonnons-nous notre chemin, attirés par l'éclat trompeur du chemin d'à côté ? »
« Il est bon de noter combien la charge affective des mots : bien-être, joie, plaisir est différente. Le bien-être est acceptable, la joie est noble, le plaisir est suspect. »
« Les amis de nos amis peuvent devenir odieux, à force de nous représenter combien les êtres dont nous nous croyons proches sont des inconnus. »
« Combien avaient raison les Anciens qui n'avaient qu'un même dieu pour les marchands et les voleurs. »
« Si tu remerciais Dieu pour toutes les joies qu'il te donne, il ne te resterait plus de temps pour te plaindre. »
« Cette femme est belle et intelligente : hélas, combien elle serait devenue plus intelligente si elle n'était pas belle. »
« Combien de larmes, de souffrances, de drames ont causé notre artificielle conception de la famille et du mariage ! »
« L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. »
« Il en coûte trop cher pour briller dans le monde,Combien je vais aimer ma retraite profonde ! Pour vivre heureux vivons cachés. »