« Le mort ni le prisonnier n'a plus ni ami ni parent. »
« A vaillans cuers, riens impossible. »
« Es-tu triste ? Cherche autour de toi un service à rendre, une peine à consoler... »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« La vraie sagesse, la vraie supériorité ne se gagne pas en luttant mais en laissant les choses se faire d'elles-mêmes. Les plantes qui résistent au vent se cassent, alors que les plantes souples survivent aux ouragans. »
« Il faut renverser les monuments pour voir les vers qui grouillent. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« ... Nous devons méditer sur les causes qui peuvent produire le bonheur puisque, lorsqu'il est à nous, nous avons tout, et que, quand il nous manque, nous faisons tout pour l'avoir. »
« Parmi les choses dont la sagesse se munit en vue de la félicité de la vie tout entière, de beaucoup la plus importante est la possession de l'amitié. »
« Chacun de nous quitte la vie avec le sentiment qu'il vient à peine de naître. »
« A l'égard de toutes les autres choses, il est possible de se procurer la sécurité ; mais, à cause de la mort, nous, les hommes, nous habitons tous une cité sans murailles. »
« La différence entre les jeunes et les vieux, c'est que les vieux ont beaucoup plus de souvenirs et beaucoup moins de mémoire ! »
« Toute amitié doit être choisie pour elle-même, même si elle a trouvé son point de départ dans l'utilité. »
« Hâtons-nous de succomber à la tentation, avant qu'elle ne s'éloigne. »