« Le mort ni le prisonnier n'a plus ni ami ni parent. »
« A vaillans cuers, riens impossible. »
« Es-tu triste ? Cherche autour de toi un service à rendre, une peine à consoler... »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... Et tu seras heureux. »
« Il faut renverser les monuments pour voir les vers qui grouillent. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« Souviens-toi que tu es comme un acteur dans le rôle que l'auteur t'a confié : court, s'il est court ; long, s'il est long. Il dépend de toi de bien jouer ton rôle, mais non de le choisir. »
« La différence entre les jeunes et les vieux, c'est que les vieux ont beaucoup plus de souvenirs et beaucoup moins de mémoire ! »
« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses mais les jugements qu'ils portent sur les choses. »
« Celui qui progresse ne blâme personne, ne loue personne, ne critique personne, n'incrimine personne. Il ne dit rien, ni de son importance, ni de son savoir. »
« La liberté, c'est l'indépendance de la pensée. »
« Les hommes sont comme les plantes : la douceur et le parfum du fruit proviennent du sol et de l'ensoleillement dont ils ont joui. »
« C'est le fait d'un ignorant d'accuser les autres de ses propres échecs ; celui qui a commencé de s'instruire, s'en accuse soi-même ; celui qui est instruit n'en accuse ni autrui ni soi-même. »