« Il connaît toutes les ficelles, c'est un vrai pantin. »
« Apprendre les langues prend énormément de temps, et il en est de même pour toutes les choses que l'on veut connaître. »
« L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console. »
« Dans l'art de faire du mal à son prochain, l'imagination de l'homme ne connaît pas de limites. »
« Le départ, c'est souvent une pirouette pour s'échapper. Après coup, on trouve toutes sortes de bonnes raisons pour expliquer son geste, se justifier. »
« L'ignorance, comme le silence, est un refuge merveilleux où s'engouffrent toutes les rébellions, tous les dégoûts, toutes les protestations de la conscience. »
« Chacun de nous a son passé renfermé en lui comme les pages d'un vieux livre qu'il connaît par cœur, mais dont ses amis pourront seulement lire le titre. »
« Le socialisme est la forme moderne de la protestation qui, à toutes les époques d'activité intellectuelle, s'est élevée, plus ou moins vive, contre l'injuste répartition des avantages sociaux. »
« Toutes les tendances égoïstes qu'on trouve chez les hommes, le culte de soi et le mépris des autres, prennent leur source dans l'organisation actuelle des relations entre les hommes et les femmes. »
« La différence entre un bon et un mauvais architecte réside en ce que le mauvais succombe à toutes les tentations quand le bon leur tient tête. »
« Vivre, c'est naître lentement. Il serait un peu trop aisé d'emprunter des âmes toutes faites ! »
« La perversion, ça consiste à retourner toutes les valeurs et à appeler mal ce qui est bien ou noir ce qui est blanc. »
« Le fanatisme est aveugle, il rend sourd et aveugle. Le fanatique ne se pose pas de questions, il ne connaît pas le doute : il sait, il pense qu'il sait. »
« Tu n'a peur de rien, tu n'as peur de personne. Sauf de toi-même. C'est la pire de toutes les peurs. »