« Feindre d'ignorer ce qu'on sait, de savoir tout ce que l'on ignore... Voilà toute la politique. »
« Il suffit d'ouvrir un manuel de littérature grecque ou latine pour constater que les belles époques littéraires sont d'un demi-siècle alors que les littératures dites de décadence durent six cent ans. »
« La musique est au-delà des mots. »
« L'usage est souvent un abus. »
« Pour lutter contre le présent et créer l'avenir, le passé est souvent l'arme la plus efficace. »
« On ne s'intéresse guère aux affaires des autres que lorsqu'on est sans inquiétude sur les siennes. »
« Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur. »
« En occupant les gens de leur propre intérêt, on les empêche de nuire à l'intérêt d'autrui. »
« Que de gens lisent et étudient non pour connaître la vérité, mais pour augmenter leur petit moi. »
« Pourvu que je ne parle ni de l'autorité, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, je puis tout imprimer librement, sous la direction, néanmoins, de deux ou trois censeurs. »
« En occupant les autres de leur propre intérêt, on les empêche de nuire à l'intérêt d'autrui. »
« Les maximes constituent la sagesse des nations. »
« On peut très bien avoir soixante ans sur son acte de naissance, quarante à la ville et vingt dans un lit. »
« Le silence vaut mieux que n'importe quelle avalanche de paroles. »