« Le mort ni le prisonnier n'a plus ni ami ni parent. »
« A vaillans cuers, riens impossible. »
« Es-tu triste ? Cherche autour de toi un service à rendre, une peine à consoler... »
« Deux angoisses de l'écriture : ne plus rien avoir à dire, n'avoir jamais fini de dire. »
« Il y a d'autres richesses que le bonheur. »
« La pensée est une sensation, l'une des plus belles peut-être. »
« Demeurer me serait une devise idéale, la pourrait-on seulement tenir. »
« L'obligation au bonheur est totalitaire, et c'est la tyrannie de l'époque. »
« Pas plus sans doute que l'on aime ou que l'on souffre, il ne faut dire que l'on écrit. »
« L'amour n'est donc pas une condition inévitable de la vie, il n'en est qu'une circonstance, un désordre, une époque... Que dis-je? Un malheur! Une crise... »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« Il faut renverser les monuments pour voir les vers qui grouillent. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« La différence entre les jeunes et les vieux, c'est que les vieux ont beaucoup plus de souvenirs et beaucoup moins de mémoire ! »