« Pardonnez à ceux qui vous ont offensé et apprenez à changer de trottoir. »
« N'apprenez jamais à faire quoi que ce soit ; si vous n'apprenez pas, vous trouverez toujours quelqu'un d'autre qui le fera à votre place. »
« Qu'il est dur de haïr ceux qu'on voudrait aimer. »
« Méfiez-vous des gens dont on dit qu'ils ont le cœur sur la main. Comme ce n'est pas sa place, demandez-vous ce qu'ils peuvent bien avoir à la place du cœur. »
« On dit que l'argent ne fait pas le bonheur. Peut-être, mais il vous permet en tout cas de choisir le genre de misère que vous préférez. »
« Vous savez, l'amour et l'amitié, ça marche avec l'admiration. »
« Sachez vous éloigner car, lorsque vous reviendrez à votre travail, votre jugement sera plus sûr. »
« Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux. »
« Il n'y a au monde que deux classes d'hommes : ceux qui ont et ceux qui gagnent. Les premiers se couchent, les autres se remuent. »
« Connaissez-vous beaucoup d'hommes qui attribuent leurs échecs à leur incapacité ? »
« Non, si vous voulez rendre la religion chrétienne aimable, ne parlez jamais de martyrs ; nous en avons fait cent fois plus que les païens. »
« De nos jours, le plus grand problème du mariage est de subvenir, avec un seul salaire, aux besoins de sa femme et à ceux de l'Etat. »
« On devrait toujours se voir comme des gens qui vont mourir le lendemain. C'est ce temps qu'on croit avoir devant soi qui vous tue. »
« Il en est des médecins comme des avocats. La seule différence c'est que l'avocat se contente de vous voler alors que le médecin vous vole et vous tue par la même occasion. »