« Le mort ni le prisonnier n'a plus ni ami ni parent. »
« La révolution c'est de briser les conventions, c'est de refuser l'ordre de l'anti-humain. »
« A vaillans cuers, riens impossible. »
« Es-tu triste ? Cherche autour de toi un service à rendre, une peine à consoler... »
« Le vrai patriotisme c'est d'abord le culte de sa langue, expression par excellence de sa personnalité. »
« Quand on parle de s'en aller, on place vite son cœur dans ses bagages. »
« Mener quelque chose ? C'est peut-être un but. Se mener soi-même paraît l'essentiel. »
« L'homme peut haïr ; alors il est affreux. L'homme peut aimer ; alors il est splendide. »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« Il faut renverser les monuments pour voir les vers qui grouillent. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« La différence entre les jeunes et les vieux, c'est que les vieux ont beaucoup plus de souvenirs et beaucoup moins de mémoire ! »
« Les hommes sont comme les plantes : la douceur et le parfum du fruit proviennent du sol et de l'ensoleillement dont ils ont joui. »
« Ce qui caractérise la communication c'est d'être unilatérale. »