« Quand les roses fleurissaient, sortaient les filles - On voyait dans tous les jardins danser les jupons - Puis les roses se fanaient, rentraient les filles - Pour passer dans leurs doux écrins le temps des flocons. »
« A la vitesse à laquelle se réalisent mes espoirs, je n'ose même plus rêver. »
« Ne dit-on pas que l'on aime davantage ce pour quoi on se bat ? »
« Si tu étais la mer - Moi je serais rivière - Et mes jours couleraient vers toi - Si tu étais pays - Mes bras seraient frontières -... - Si tu étais... - Mais tu es plus encore... - Tu es, tu es - Et tu remplis mes jours - Tu es de vie - Tu es d'amour - Tu es. »
« J'aime quand tes yeux couleur de brume - Me font un manteau de douceur - Et comme sur un coussin de plumes - Mon front se pose sur ton cœur. »
« Oui, c'est comme ça, il y a des jours où l'on ne vit pas. - C'est comme ça, il y a des jours où rien ne va, - Des jours de plein soleil où l'on a si froid - Que les plus pauvres joies vous glissent entre les doigts. »
« Si tu étais la terre - Moi je serais semeur - Tu serais ma moisson... Ma loi - Et je mourrais ravi - De t'avoir vue en fleurs - M'endormant à jamais... En toi. »
« Il n'y a pas d'amour sans peine, et pourtant, depuis l'aube du temps les gens s'aiment. »
« L'homme ne saurait connaître la loi, mesurer ses limites, qu'en passant outre. »
« Je n'aime pas travailler, mais j'admets que les autres travaillent. »
« Le seul courage est de parler à la première personne. »
« Une pièce de théâtre doit être le lieu où le monde visible et le monde invisible se touchent et se heurtent. »
« L'Eglise, voilà l'homme d'affaires des grandes affaires durables. »