« La liberté n'est pas oisiveté ; c'est un usage libre du temps, c'est le choix du travail et de l'exercice : être libre en un mot n'est pas ne rien faire, c'est être seul arbitre de ce qu'on fait ou de ce qu'on ne fait point ; quel bien en ce sens que la liberté ! »
« L'oisiveté exige tout autant de vertus que le travail. »
« L'oisiveté est la mère de tous les vices. »
« L'oisiveté est la rouille de l'âme. »
« L'oisiveté rend fou. Il ne suffit pas de manger pour vivre, mais il faut se sentir utile. »
« La médisance est fille de l'amour-propre et de l'oisiveté. »
« L'oisiveté est le refuge des faibles. »
« La lecture est une invitation à l'oisiveté; l'oisiveté, la mère de tous les vices. Donc, la lecture est un vice. J'étais très vicieux. »
« L'oisiveté pèse aux races laborieuses. Ce fut un coup de maître de l'instinct anglais de faire du dimanche une journée si sainte et si ennuyeuse, que l'Anglais en vient, à son insu, à désirer le retour des jours de semaine et de travail. »
« L'oisiveté engendre le plaisir et le plaisir détourne petit à petit du devoir. »
« Coincé comme on est entre deux éternités d'oisiveté, on n'a aucune excuse à rester à ne rien faire. »
« Il ne manque à l'oisiveté du sage qu'un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille s'appelât travailler. »
« L'oisiveté est comme la rouille; elle use plus que le travail. »
« Le patron constitue le plus gros obstacle à l'oisiveté au bureau. »