« A quoi bon pleurer sur ce qui aurait pu être ?... Les hommes sont-ils donc les artisans de leur propre malheur ? Peuvent-ils se soustraire aux forces du destin ? »
« Il y a dans la vie des instants de bonheur qu'aucun poème ne peut résumer. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« Les fées nous endorment, nous ouvrent les portes de leur royaume, qui se referment sur nous sans qu'elles aient pris la précaution de nous en remettre la clé. »
« Que nous vaut la liberté sans le pouvoir d'agir ? C'est une belle lampe magique dont la lumière, le secret nous est inconnu. »
« Le hasard est une loi que tout le monde applique sans le savoir. »
« Faire l'amour, en soi, ne libère pas les femmes. La question, c'est de savoir de quelle sexualité les femmes doivent se libérer pour la vivre bien. »
« Tous ceux qui respire le bonheur doivent un jour ou l'autre l'expirer. »
« La liberté n'est que la forme d'une grande idée dont nous n'avons pas complètement perdu le souvenir. »
« Il n'y a pas de désir que la puissance de l'analyse ne parvienne à dissoudre. »
« La philosophie de l'artillerie : Cogito ergo boum. »
« Les affaires n'attendent pas ; elles viennent généralement très vite à maturité et se gâtent quand on les néglige. »
« Les philosophes ne sont pas exempts d'épreuves. La vérité leur coûte parfois la vie quand elle ne leur ôte pas la liberté d'en jouir. »