« Les primevères et les paysages ont un défaut grave : ils sont gratuits. L'amour de la nature ne fournit de travail à nulle usine. »
« Dieu n'est pas compatible avec les machines, la médecine scientifique et le bonheur universel. »
« Ce n'a jamais été bien de raccommoder les vêtements. Jetez-les quand ils ont des trous et achetez-en de neufs. Raccommoder, c'est antisocial. »
« Plus les talents d'un homme sont grands, plus il a le pouvoir de fourvoyer les autres. »
« Ce que l'homme a uni, la nature est impuissante à le séparer. »
« Ce ne sont pas les philosophes mais bien ceux qui s'adonnent au bois découpé et aux collections de timbres, qui constituent l'armature de la société. »
« Le bonheur est un maître exigeant, surtout le bonheur d'autrui. »
« La science est un danger public. Elle est aussi dangereuse qu'elle a été bienfaisante. »
« La passion, et la neurasthénie, c'est l'instabilité. Et l'instabilité, c'est la fin de la civilisation. »
« Si l'on est différent, il est fatal qu'on soit seul. »
« Le bonheur n'est jamais grandiose. »
« La civilisation n'a pas le moindre besoin de noblesse ou d'héroïsme. Ces choses-là sont des symptômes d'incapacité politique. »
« L'expérience, ce n'est pas ce qui arrive à quelqu'un, c'est ce que quelqu'un fait avec ce qui lui arrive. »
« On ne peut avoir une civilisation aimable sans une bonne quantité de vices aimables. »