« Vous m'offrez la cité... Je préfère les bois, car je trouve, voyant les hommes que vous êtes, plus de cœur aux rochers, moins de bêtise aux bêtes. »
« La vie non accompagnée par la conscience n'est pas la vie, mais une expression vivante de la mort. »
« La raison est vaine là où la nécessité presse. »
« Dieu est si grand seigneur, et moy si petit compagnon que nous n'avons jamais eu de communication ensemble. »
« Votre main droite sait certainement ce que fait votre main gauche, mais elle ne le dit pas. Louons sa discrétion. »
« L'amitié sincère subsiste aux moments difficiles. »
« C'est une erreur de la méchanceté humaine de louer toujours le passé et de dédaigner le présent. »
« La centralisation, c'est l'apoplexie au centre, la paralysie aux extrémités. »
« Le premier devoir de l'amitié n'est point de donner de stériles regrets à l'ami disparu, mais de garder la mémoire de ses volontés et d'exécuter ses recommandations. »
« La contradiction aiguise le désir et précipite l'action. »
« On impose, à distance, plus de respect. »
« L'hiver, c'est la saison du recueillement de la terre, son temps de méditation, de préparation. »
« L'ambition est le triomphe du rêve sur la certitude. »
« L'éloignement augmente le prestige. »