« Le passé a des blancs qui sont noirs. »
« Comme ils souffrent, les morts qu'on n'aime plus ! »
« On ne pleure pas un mort qui n'a pas laissé de richesses. »
« Les églises ne sont-elles pas des dortoirs des vivants aussi bien que des morts ? »
« Les morts ne connaissent pas la honte, mais ils puent horriblement. »
« Les lois sont semblables aux toiles d'araignées, qui attrapent les petites mouches, mais laissent passer guêpes et frelons. »
« Cueille dès maintenant les fleurs de la vie car la mort est si pressée que le frêle bouton qui s'ouvre aujourd'hui aura bientôt trépassé. »
« Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux. »
« La fausse modestie consiste à se mettre sur le même rang que les autres pour mieux montrer qu'on les dépasse. »
« Les postes importants sont dangereux pour des hommes moyennement doués ; quand on doit se dépasser soi-même, cela transforme le caractère. »
« La vie sans être amoureux, c'est la destruction, c'est passer à côté de quelque chose d'essentiel comme le soleil ou la mer. Le désir est un mot indispensable. »
« Les villes portent les stigmates des passages du temps, occasionnellement les promesses d'époques futures. »
« L'argent ne représente qu'une nouvelle forme d'esclavage impersonnel à la place de l'ancien esclavage personnel. »
« Les amis de nos amis peuvent devenir odieux, à force de nous représenter combien les êtres dont nous nous croyons proches sont des inconnus. »