« Celui qui progresse ne blâme personne, ne loue personne, ne critique personne, n'incrimine personne. Il ne dit rien, ni de son importance, ni de son savoir. »
« La liberté, c'est l'indépendance de la pensée. »
« La littérature est une maladie. Ou peut-être un remède a une maladie. »
« Ecrire pour moi, m'enfoncer dans ce qu'on appelle l'imaginaire, n'était-ce pas une façon de renverser un monde renversé, celui de l'enfant confondu à sa génitrice : pour retrouver, par la fiction, le réel ? »
« Si je n'espère rien, rien ne me fera craindre. »
« On ne peut applaudir d'une seule main. »
« Le péché fait par force est toujours pardonné. »
« Parler c'est comme baiser. C'est obscène et beau. »
« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, ce sont les jugements qu'ils portent sur les choses. »
« Les occasions sont indifférentes, l'usage qu'on en fait ne l'est pas. »
« N'est ce pas soi-même qu'on reconstruit dans l'authenticité retrouvée de sa langue : le style ? »
« C'est au rythme de mon cœur que battent mes mots. »
« Cherchons nos biens en nous-même, autrement, nous ne les trouverons pas. »
« Y'a pas de pays pour les vauriens, Les poètes et les balladins. »