« Il faut rendre à l'agriculture sa place et son rang. »
« L'épithète doit être la maîtresse du substantif, jamais sa femme légitime. »
« Le roman est l'histoire éternelle du cœur humain. L'histoire vous parle des autres, le roman vous parle de vous. »
« En France on parle quelquefois de l'agriculture, mais on n'y pense jamais. »
« L'incertitude est le pire de tous les maux jusqu'au moment où la réalité vient nous faire regretter l'incertitude. »
« Dieu n'a pas fait d'aliments bleus. Il a voulu réserver l'azur pour le firmament et les yeux de certaines femmes. »
« Les chiens sont, en tant qu'espèce, éminemment méprisables, aussi bien pour l'écœurante banalité de leur affection que pour leur extraordinaire faculté de caporalisation. »
« L'avantage du célibataire sur l'homme marié, c'est qu'il peut toujours cesser de l'être s'il trouve qu'il s'est trompé. »
« Les apôtres deviennent rares ; tout le monde est Dieu. »
« Un cocu ? Un entier qui partage sa moitié avec un tiers. »
« Peut-être le bonheur n'est-il qu'un contraste, mais il y a une foule de petits bonheurs qui suffisent pour parfumer la vie. »
« La vie, c'est une boite d'instruments qui piquent et coupent. A toute heure nous nous ensanglantons les mains. »
« La gloire, c'est comme un cigare qu'on mettrait dans la bouche par le bout allumé. D'abord ça brûle, et puis, on ne sent plus que la cendre. »
« Faut du Baudelaire, c'est entendu, mais pas trop n'en faut. »