« Le drame des dictatures, c'est qu'elles donnent toute licence aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie, de leur mégalomanie, de leur méchanceté, de leur malhonnêteté. »
« La fatigue n'est pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit... »
« La dignité passe par le sentiment qu'on a de son utilité. »
« L'écriture ressemble à la prostitution. D'abord on écrit pour l'amour de la chose, puis pour quelques amis, et à la fin, pour de l'argent. »
« Votre sexe n'est là que pour la dépendance : Du côté de la barbe est la toute puissance. »
« Il faudrait bien comprendre que le rôle de l'école est d'apprendre aux enfants ce qu'est le monde, et non pas leur inculquer l'art de vivre. »
« L'hypocrisie est un vice privilégié, qui jouit en repos d'une impunité souveraine. »
« Les langues ont toujours du venin à répandre. »
« L'hypocrisie est un vice à la mode et tous les vices à la mode passent pour vertus. »
« La grande ambition des femmes est d'inspirer de l'amour. »
« Pour être confirmé dans mon identité, je dépends entièrement des autres. »
« La principale caractéristique de l'homme de masse n'est pas la brutalité ou le retard mental, mais l'isolement et le manque de rapports sociaux normaux. »
« Le progrès et la catastrophe sont l'avers et le revers d'une même médaille. »
« Une citation dans un discours, un article ou un livre est comme un fusil dans les mains d'un soldat. Cela parle avec autorité. »