« La littérature est une drogue dure. »
« L'amour de la liberté, sentiment si naturel à l'homme et si désespérant pour le captif. »
« Quand on a épuisé tous les possibles, que reste-t-il ? L'impossible. »
« Les hommes sentent dans leur cœur qu'ils sont un même peuple lorsqu'ils ont une communauté d'idées, d'intérêts, d'affections, de souvenirs et d'espérances. »
« On ne trompe pas l'impuissance : c'est elle qui ment en tendant une main incapable de recevoir. »
« Dieu demeure dans une lumière où nulle voie ne mène : qui ne devient pas elle, ne le verra jamais de toute éternité. »
« La vie deviendrait vite odieuse s'il fallait se charger de la détresse des autres. »
« Ce n'est pas de mourir qu'il faut craindre, mais de vieillir. »
« Les gens qui s'opposent à vos idées sont immanquablement ceux qui représentent l'ordre établi que vos idées dérange. »
« L'art d'un prince consiste à faire le bien personnellement et le mal par un second. »
« Personne ne peut comprendre un flic. Encore moins le juger. Nous évoluons dans un monde brutal, incohérent, fermé. Vous êtes en dehors, et vous ne pouvez plus le comprendre. Vous êtes en dedans, et vous perdez toute objectivité. »
« On ne se dérobe pas à l'amour impunément. On est toujours rattrapé, où qu'on se cache. »
« Il n'est nul besoin d'apparence pour aimer. C'est une foi qui accepte de ne pas interroger. »
« Quand l'esprit croît, il accède déjà au pouvoir. Il est peut-être lui-même le pouvoir. »