« Quand j'entends le mot culture, je vois des champs, des boeufs, une alouette, une belle fermière. »
« Là où boivent les boeufs, il n'y a pas de calebasses. »
« Le génie français est perdu ; il veut devenir anglais, hollandais et allemand. Nous sommes des singes qui avons renoncé à nos jolies gambades, pour imiter mal les boeufs et les ours. »
« On lie les boeufs par les cornes et les hommes par les paroles. »
« Un cheveu de femme est plus fort pour vous entraîner que dix boeufs. »
« S'il a de longues cornes, on se méfiera même du plus doux des boeufs. »
« Dix attelages de deux boeufs - Ne peuvent nous entraîner - Aussi bien qu'un cheveu de femme. »
« Les hommes vivent les uns à côté des autres comme des boeufs ; c'est tout juste s'ils parviennent, de temps en temps, à partager une bouteille d'alcool. »
« Enfants, voici des boeufs qui passent, - Cachez vos rouges tabliers. »
« Il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs. »
« Mais quand le sentiment du feu fut passé jusques à la chair vifve, adonc commencerent les boeufs à se debatre, et à secouer leurs testes. »
« On prend les boeufs par les cornes et les hommes par les paroles. »
« En littérature, il n'y a que des boeufs. Les génies sont les plus gros, ceux qui peinent dix-huit heures par jour d'une manière infatigable. La gloire est un effort constant. »
« Le champ est labouré, on n'a plus besoin des boeufs qui ont tiré la charrue, et on ne se soucie pas de les nourrir; j'ai tiré, sire, la charrue le mieux que j'ai pu. »