« Le monde est devenu invivable ; on n'a même plus le droit de ne pas être informé. »
« Papa, tu grandis encore, ta tête commence à dépasser tes cheveux. »
« Si j'étais un garçon, est-ce que j'aurais été dans le ventre de papa ? »
« Quand je vais être grand, je veux te ressembler mais avec des muscles. »
« On ne surmonte jamais l'envie d'écrire. »
« Lorsqu'on vit pleinement, on n'a pas besoin de qualifier sa vie. »
« Regarde le joli épouvantable à oiseaux ! »
« Un ménage cesse d'être un ménage lorsque c'est le chien qui apporte les pantoufles et que c'est la femme qui aboie. »
« Il n'y a qu'avec les gens avec qui nous créons la vie qu'on peut parler de la mort et anéantir les visions de destruction. Jusqu'à leurs souvenirs même. »
« Le bonheur est futur et la joie est toujours actuelle, dans la présence sereine. Le malheur, c'est le passé. »
« La vraie pitié est toujours celle que l'on éprouve pour soi-même. »
« L'enfance véritable se définit justement par l'absence d'angoisse ou d'avenir. »
« Le silence, cette paix totale qui arrive plus qu'on ne la provoque, qui concerne l'esprit plutôt que l'ouïe. »
« Pour justement détester la musique moderne, il faut la connaître. Ainsi, on pourra la détester plus intelligemment. Ou bien, sait-on jamais, l'apprécier. »